Violences urbaines, conséquences du communautarisme à la française

Publié le par MPF puy-de-Dôme

valeursactuelles.pngCes derniers jours, les divers évènements, notamment à Grenoble (Isère) et à Saint Aignan (Loir-et-Cher), constituent une actualité tristement brûlante qui dénote d’un climat de violence particulièrement palpable.

Cette violence délibérée, qui s’accroit visiblement de jours en jours, n’est donc plus latente. Depuis les émeutes de novembre 2005 qui avaient embrasé nos banlieues françaises, des centaines d’actes de délinquance se succèdent sans que les forces de l’ordre ne réussissent à les maîtriser, et à les entériner.

Ces actes récurrents et ultra-violents, illustration parfaite des tensions communautaires qui sont à leur apogée, sont des manifestations de guerre civile ethnique anti-française.

En outre, les habitants des quartiers ne sont plus les seules victimes de cette violence qui se banalise. Désormais les forces de polices, censées annihiler la violence, en sont également les victimes. De plus en plus, les forces de l’ordre sont les cibles de tirs à balles réelles. Il ne s’agit donc plus de délinquance, mais bien de criminalité.

 

Cette évolution est profondément inquiétante pour l’avenir de la cohésion nationale et populaire.

Il faut mettre un terme à cette décadence, pour que la peur change de camps.

On ne dialogue pas avec la violence, on la réprime ! Ainsi, l’Etat doit remplir sa mission régalienne fondamentale : restaurer la sécurité des français.

Le Mouvement Pour la France rappelle qu’il avait demandé, lors des émeutes urbaines de 2005, d’envoyer l’Armée dans les banlieues. Il appelle ainsi à plus de fermeté, et donc plus de répression, vis à vis de la délinquance et de la criminalité en France afin de rétablir l’ordre sur le territoire national.

Publié dans MPF 63

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